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Le sujet test de drago

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La mode alimentaire
Les parenthèses contiennent des noms de plats réels qui ont servi d'inspiration à l'écriture de cette annexe.


La Congrégation Marchande


Auparavant, la Congrégation marchande possédait des champs, mais sa campagne est de plus en plus morcelée par ses mines et ses usines. Sa cuisine est tournée vers la mer, et est enrichie de produits d’importation de l’Alliance du Pont comme de Thélème. Parfois, la cuisine de la Congrégation est considérée comme un peu compliquée avec ses plats et ses entre plats. On mange à table et le repas est toujours constitué, même chez les plus pauvres, d'au moins deux plats. La nourriture est associée à la réussite sociale, surtout à une époque où certaines ressources se font rares. Pouvoir recevoir du monde à sa table et avoir de multiples entremets prouve l'aisance financière.

Les produits de la mer forment la base : du poisson, des crustacés, des mollusques (pour la conservation on les met en bocal ou on les sale). Les plus aisées préfèreront des produits de la mer plus travaillés et consommés frais (Sèche cuite dans son encre, calamars fris, filets de poisson au four, brandade).

Des œufs (frittata), en campagne, loin de la mer, coincé près des usines, on a volontiers quelques poules dont les œufs représentent la principale source de protéine du foyer.

Des céréales en pains plats (focaccia, piadina), en tourte (tielle) et en pâtes. Les pâtes représentent une base alimentaire. La recette traditionnelle qu’on retrouve dans tous les foyers consiste à mélanger un peu d’eau bouillante avec du fromage jusqu’à émulsion pour former une sorte de sauce. Les plus aisés déclinent les pâtes avec des fromages et des accompagnements plus extravagants.

Les ragoûts de pâtes chez les plus pauvres : avec des légumineuses, une sauce, et de la viande ou du poisson facilement accessibles (chutes, généralement, ou abats). Les cassolettes où on prend ce qu’on a et on le fait mijoter (garbure)

De la viande ; surtout du poulet facile à élever et à parquer sur de petites surfaces (pollo alla cacciatora). La viande la plus chère est la venaison, elle est réservée à l’aristocratie qui est seule à avoir le droit de chasse.

Les desserts sont surtout des biscuits (langue de chat, amaretti) et des gâteaux aux fruits secs (plus facile pour le transport, comme le panetone)

En boissons, des vins et des alcools à conservation longue (pastis, digestifs aux herbes)


L'Alliance du Pont


L’Alliance ne possède pas de grands et verts pâturages ni de champs à pertes de vue, à cause de sa géographie. Ainsi, on y élève surtout des chèvres et des brebis, et on y récolte des fruits sur des arbres qui supportent le vent et la chaleur. Privilégiant ce qui demande peu d’eau et peu de soin, l’Alliance décline en un nombre impressionnants de plats et de saveurs le peu de ressources dont elle possède. Cependant, son attrait pour les plantes sauvages rebute parfois les étrangers.
Le repas est vécu comme un moment privé, où on se pose et où on mange tous ensemble, en famille, avec des amis. Il est servi comme un banquet, il n'y a pas de système d'entrée /plat / dessert, on pose divers plats sur la table et chacun prend ce qu'il désire. Il n'est pas rare qu'on mange dans le même récipient, avec les mains ou en utilisant du pain plat pour prélever sa nourriture à la place des couverts.
Paradoxalement, l'Alliance a un nombre importants de petits commerces qui vendent de la nourriture à la sauvette. Il est plus commun de manger comme ça en public que d'aller à la taverne, ces dernières vendent plutôt à boire qu'à manger. Ce mode d'alimentation "sur le pouce" montre qu'on est pressé, et donc affairé à des choses importantes.

Des herbes forment la base (orties, blettes, abronie) frites ou en salade. La "salade du berger" par exemple est souvent composée de fromage de brebis avec des épices et des herbes hachées. On mange le taboulé avec beaucoup d’herbes et de tubercules (coriandre, oignon grenaille) et à peine une poignée de semoule parce qu'elles sont faciles à faire pousser, demandent peu d'eau, se trouvent dans la nature (taboulé libanais, stamnagathi).

Des fromages de chèvre ou de brebis (voir feta, halloumi).

Des légumes surtout sous forme de dolma (rouleaux de feuilles de vigne farcis) avec des légumes quand on en récolte, mais encore une fois des herbes : menthe, percil, épinard.

Des fruits consommés tels quels avec de la crème quand c’est la saison (pêches, figues, grenades) et secs avec des plats salés quand la récolte est passée.

Des céréales sous forme de boulgour, de pain plat, de vermicelles (koshari).

Des légumineuses sous forme de lentilles et d'haricots plats (kuru fasulye).

Des viandes, surtout du mouton, de l'agneau pour les riches (döner).

Des "pides", des pâtes plates qu'on garnit (lahmacun) ou des chaussons (borek, gozleme).

Des soupes : soupes de farine, soupes de lait, soupes de lentilles...

Sucré : beaucoup d’arachides et de sirops avec des préparations à base de pâte non levée (baklavas) et des sortes de brioches (corek), des crèmes (labneh).

Boissons chaudes : thé et infusions de plantes (l’infusion de sauge étant la plus prisée l’hiver).


Thélème


La cuisine thélémite est réputée pour être riche, paradoxalement à un peuple qu’on trouve parfois austère. Le climat doux de la capitale permet de faire paître des bovins et ainsi beurres, fromages, crèmes, et viande rouges se trouvent au menu, en plus de légumes de belle taille.
A cause du climat de Thélème, les thélémites mangent une bonne quantité le matin et le soir, avant et après le levée du soleil. Le reste de la journée, particulièrement aux alentours de midi, ils mangent de petites quantités de nourriture ; ils "grignotent", d'où la présence de petits en-cas dans leur cuisine, comme des chaussons ou des croquettes.

Les légumes forment la base : poivron, ail, oignon, tomate, aubergine, on trouve des cassolettes longuement mijotées (escalivada, pisto) même les légumes sont dans une forme assez bourrative, souvent fourrés au fromage, ou accompagnés d'huile d'olive.

Thélème dispose d'une abondance de farine, de crème et d'œufs, qu’on retrouve dans des sauces. Pas de bons repas à Thélème sans une sauce. (mojo rojo, mojo verde, alioli)

Fromages à pâte dure comme le manchego ou poivrés comme le picon de valdeon : ce sont des tomes rondes dont on coupe des quartiers.

Des céréales sous forme de pains levés avec des spécialités comme des miettes de pain revenues à l’huile (migas) ou sous forme de gâteau (tres leche).

Des produits laitiers sous forme sucrée comme le lait fris ou les tartes au fromage (tarta de queso).

De très nombreuses charcuteries, le façon de préserver la viande durant l’hiver : chorizo, jambons à l'os dont on peut fourrer des croquettes ou des chaussons souvent fris.

Des ragouts, des pots au feu, généralement composés de légumes avec une viande bouillie dans la même cuisson ou braisée à côté.

Les viandes avec du porc, du bœuf, on retrouve des entrecôte, des boulettes de viande, des spécialités de pâte fourrée à la viande de porc (flamenquin, lomo de orza).

Une utilisation intensive des pommes de terre (patatas bravas).

Les desserts sont des gâteaux à pâtes levées ou des tartes, on utilise les fruits dans ces dernières quand c’est la saison, ou on les conserve en bocaux le reste de l’année pour les manger confits.

Les repas sont arrosés de vin (le territoire est propice pour la vigne).


Les Natifs


La cuisine des Natifs paraît assez rébarbative par rapport aux saveurs de Gacane mais les Natifs savent utiliser toutes les ressources à leur disposition. Leur cuisine est nutritive, riche et pas dénuée de saveur, elle n’a simplement aucun intérêt pour la forme et la présentation.
Le repas n'a aucune valeur sociale pour les Natifs, la nourriture n'est pas l'affaire d'une personne mais du clan et est une ressource mise en commun. On ne se pose pas pour manger, on peut manger en plein travail, debout, assis, chez soi, dehors, ce n'est pas considéré comme un acte de partage avec autrui, même si on mange près de quelqu'un, on ne mange pas "ensemble", chacun assure de trouver sa portion. On ne peut pas se passer de manger, le repas est simplement vu comme un moment obligatoire pour continuer son travail. Le seul moment où les Natifs se réunissent expressément dans le but de manger est pendant certaines fêtes : c'est rare.

La viande forme la base de la cuisine native. Elle est chassée. Une partie est mangée directement, l’autre est mise aux réserves du village chaque jour en prévision de l’hiver. Elle y est séchée au-dessus d’une fumée composée d’herbes aromatiques puis roulée dans des baies sauvages pour lui donner du goût.

Les céréales. Les Natifs ne sont pas des agriculteurs mais ils récoltent des graminées pour les moudre avec des meules manuelles. Mélangées à de l’eau et des herbes, elles donnent des galettes plates. Elles peuvent être sucrées ou salées. Avec davantage d’eau, elles donnent une bouillie, une sorte de porridge, qui peut également être mangée sucré ou salée.

Les légumes. Les Natifs font une grande consommation de racines : des sortes de panais, de carottes, de poireaux ou d’oignons. Ils les cuisent à l’étouffée, dans des fours qui enfument ce qu’ils cuisent, parfois ils roulent leurs aliments dans des peaux pour les cuire sous la braise. Ils ont des formes de ragoûts et se servent du sang ou de sucs de viande pour les agrémenter.

Des œufs d’oiseaux sauvages qui sont mangés comme des friandises pour les grandes occasions.

Des baies, beaucoup de baies, utilisées comme aromates quand elles sont pilées, comme accompagnements ou en dessert. Elles sont séchées pour l’hiver ou cristallisées dans une grande quantité de miel. Sous cette forme, elles donnent un dessert particulièrement sucré. On dissout parfois ce miel dans une quantité d’eau chaude pour agrémenter les boissons l’hiver.

Des noix sauvages, notamment des noisettes, qu’on pile et qu’on utilise pour agrémenter les légumes.

Du miel en dessert et une écorce d’un « arbre à sucre » qui, une fois bouillie, devient tendre et comestible et est connue pour avoir un goût très doux. En manger trop donne des maux d’estomac.

Des infusions de feuilles, de tiges, de racines et de baies.
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Les fêtes

La Congrégation Marchande


De toutes les fêtes de la Congrégation, la Cavalcade est la plus connue et la plus populaire.
A l’origine, la Cavalcade prenait la forme de simples danses dans ses plus beaux habits afin de fêter la fin de l’hiver et d’accueillir le printemps dans la joie. Mais désormais, il s’agit d’une grandiose fête costumée et musicale s’étalant sur trois jours en campagne et une semaine entière à Sérène. Toute la population de la Congrégation Marchande se déguise pour l’occasion, du plus pauvre au plus riche, et on s’amuse souvent à se faire passer pour un autre… On permet, ces jours-là, davantage d’excentricités que le reste de l’année.

Nombreux sont ceux qui préparent leur costume des mois à l’avance. Les réjouissances comprennent bon nombre de bals, mais il y a également des spectacles de toutes sortes en pleine rue, du théâtre improvisé, des banquets offerts à la population et de nombreux défilés. Les villes rivalisent souvent d’ingéniosité pour organiser des Cavalcades toujours plus merveilleuses et époustouflantes.
L’ambiance quelque peu débridée de la fête fait qu’elle n’est guère populaire en Thélème, mais après tout, avec un masque et des habits suffisamment colorés, qui pourrait dire qui est thélémite ou non ?

La Fête des Mers


Familièrement surnommée “Jour des Nautes”, cette fête commémore le traité signé entre la Congrégation Marchande et les Nautes. A cette occasion, les habitants sont invités à jeter une pincée de sel dans la mer en faisant un voeu et à honorer leurs alliés en leur faisant un cadeau. Souvent, les villages et villes font officiellement un seul cadeau au nom de leurs habitants, mais les citoyens les plus importants de la Congrégation savent qu’il est de bon ton de faire également un cadeau personnel. Quant aux Nautes, ils font monter sur leurs navires quelques enfants tirés au sort pour leur faire découvrir la vie à bord.

Si la Fête des Mers arrive sur une année où les rapports avec les Nautes sont un peu tendus, les fameux cadeaux comprennent souvent des enfants qui intégreront les Nautes.
Dans les coins les plus reculés du territoire de la Congrégation Marchande, on enferme un peu d’eau de mer dans un bocal après avoir marché à pied jusqu’à la plage afin d’apporter la prospérité au foyer. Cette tradition, qui n’a aucun lien avec les Nautes, laisse entendre que le traité a été signé le jour d’une ancienne fête de la mer.

La Cérémonie des Récoltes


Traditionnellement, cette fête vise à fêter la fin de la période des récoltes dans les champs.
Mais à mesure que les usines ont remplacé les fermes, la Cérémonie des Récoltes a pris un sens quelque peu différent. Il s’agit désormais d’une journée où l’on fait le point sur le travail et les progrès accomplis au cours de l’année écoulée. Les patrons des différentes boutiques, usines, mines et autres font traditionnellement un cadeau à leurs employés si les profits ont été bons. Ne faire aucun cadeau, même en cas d’année défavorable, est considéré comme un geste pingre et rustre.

Le Jour des Amis


Si cette fête n’a pas le même panache que la Cavalcade, elle est également appréciée et encouragée par l’aristocratie de la Congrégation Marchande. Le Jour des Amis est une journée dédiée - comme on peut s’en douter - à l’amitié. La tradition veut qu’on prépare un repas pour tout son entourage et qu’on invite également au moins un inconnu à participer. A l’issue du repas, il est de bon ton de prendre part à un jeu de questions et de défis.
Le Jour des Amis est la fête la plus réputée à l’étranger : la Congrégation Marchande, après tout, considère toutes les autres factions comme étant ses amies, n’est-ce pas ? On invite donc volontiers à la cour des personnalités de Thélème, de l’Alliance du Pont, voire d’importants officiers de la Garde du Denier. L’ambiance de cette journée se veut bon enfant et son objectif est de resserrer les liens. Il n’est pas rare que les plus ambitieux en profitent pour signer de nouveaux contrats.


L'Alliance du Pont


La Fête du Pont


La Fête du Pont a la particularité de ne pas être fêtée le même jour dans toutes les provinces de l’Alliance. En effet, elle est célébrée le jour où sa province a rejoint l’Alliance, ce qui fait qu’il se passe rarement un mois sans qu’il n’y ait une Fête du Pont quelque part sur le territoire. A la capitale, Al Saad, on célèbre cette fête à la date anniversaire de la création de l’Alliance.
A cette occasion, un long discours est prononcé pour rappeler le contexte historique de la signature et célébrer tous les bienfaits qui ont découlé de ce choix. Les villes et villages qui ont un cours d’eau organisent une fête au cours de laquelle on doit se serrer la main d’une rive à l’autre - et bien sûr, si on a un pont, on le fait dessus. Les endroits qui en sont dépourvus organisent cette cérémonie au-dessus d’une fontaine ou bâtissent une estrade en forme de pont.
Le reste de la journée est consacré à des danses et banquets. C’est traditionnellement un jour où on est invité à pardonner à ses proches et à s’offrir des cadeaux.

Fête des Grands Hommes


Cette célébration printanière met à l’honneur les inventeurs de toutes sortes. Chaque province célèbre ses ressortissants les plus talentueux et organise une célébration au cours de laquelle ceux qui le désirent peuvent faire une démonstration de leurs dernières idées. Les plus impressionnantes et les plus utiles des inventions reçoivent des prix. Pour avoir le droit d’exposer aux endroits les plus prestigieux, comme à l’académie ou à la capitale, il faut d’abord convaincre un jury.
On célèbre également les noms des inventeurs morts ou vivants qui ont eu le plus d’influence. Ces dernières années, force est de constater qu’on célèbre surtout ceux qui ont permis d’obtenir des victoires militaires.

Nuit des Astres


La Nuit des Astres, aussi appelée Nuit du Souvenir, a lieu l’été ; sa date est toujours susceptible de varier au dernier moment, car elle nécessite un ciel nocturne bien dégagé.
Cette fête donne lieu à une longue veillée de contes et d’observation des étoiles. Outre des histoires traditionnelles, on se raconte surtout beaucoup d’anecdotes sur les disparus, car cette nuit-là leur est également consacrée. On aime à se rassembler en famille ou entre amis pour ce faire. Quelques superstitions affirment que si on voit une étoile filante, c’est qu’un proche disparu nous fait un signe.
Les académies et observatoires ouvrent leurs portes à l’occasion de la Nuit des Astres, et invitent les visiteurs à découvrir leurs instruments pour mieux voir le ciel.

La Parade


Impressionnante fête militaire, la Parade est organisée au début de l’automne. Après quelques discours officiels sur l’importance de l’armée et les dates des plus grandes batailles, un grand défilé est organisé dans toutes les provinces. L’armée reçoit honneurs, décorations et hommages, et c’est le jour où elle recrute le mieux.
Quoique la Parade ait lieu chaque année, c’est tous les cinq ans qu’elle est la plus grandiose.

En effet, toutes les provinces entrent alors en liesse pendant parfois plusieurs semaines, tandis que les volontaires de tous les pays de l’Alliance du Pont convergent vers la capitale pour une cérémonie officielle à laquelle, dit-on, il faut assister au moins une fois dans sa vie. Les soldats arrivent rarement très frais à Al Saad, car sur le chemin on les invite sans cesse à participer aux réjouissances et aux banquets organisés en leur honneur.


Thélème


Fête de Saint Lucius


Premier et plus important disciple de Saint Matheus, Lucius a retranscrit les paroles sacrées du Prophète et a donné à Thélème les fondations écrites de sa foi.

Sa fête est l’occasion de célébrer tous les transmetteurs du savoir et de la foi. On offre des présents aux enseignants, aux prêcheurs, aux bibliothécaires. On essaie d’attirer sur soi la faveur divine en retenant quelque chose de nouveau ce jour-là, afin de montrer qu’on est toujours prêt à en apprendre davantage sur le Lumineux et le monde qu’Il éclaire. Les plus paresseux se contentent d’écouter la messe du jour, au cours de laquelle le prêtre fait souvent des rappels sur les faits les plus méconnus de l’Histoire de Thélème ou son dogme ; mais la tradition la plus appréciée du jour consiste à s’offrir des petits mots contenant des savoirs inédits. Il n’est pas rare, le soir de la Fête de Saint Lucius, de retrouver dans son capuchon une carte “Le savais-tu ? Les araignées ont sept pattes si on leur en enlève une !” placée là par un enfant.

La Nuit des Lumières


Cette fête a lieu en plein hiver lors de la nuit la plus longue de l’année. Le jour qui la précède est généralement chômé, et pour cause : tout le monde dort pour pouvoir tenir la nuit blanche qui s’annonce.

La Nuit des Lumières commence par une messe au crépuscule au cours de laquelle on raconte le périple de Sainte Eulogia. Selon les textes, Eulogia était une inquisitrice qui partit délivrer un village d’une malédiction y faisant régner une éternelle nuit. La Sainte exhorta les villageois à allumer chacun une chandelle et à retrouver la foi ; alors le Lumineux revint dans les coeurs et, par là-même, dans les cieux.

Après la messe vient la célébration proprement dite. Chacun allume une bougie, voire plusieurs, et la veillée commence. On se rassemble souvent près de l’église avec bougies, couvertures et plats chauds. On joue, on se raconte des histoires, on prie, on se raconte toutes les fois où on avait perdu l’espoir avant qu’il ne revienne.
Quand l’aube arrive enfin, ceux qui ont tenu jusque-là sont à l’honneur. Ils éteignent les bougies et entonnent un chant traditionnel vantant le retour de l’espoir et du Lumineux.

Fête de Saint Matheus


Célébration la plus importante de Thélème, la fête de Saint Matheus se déroule sur trois jours d’été.
Le premier jour est consacré à retracer l’Histoire du célèbre saint et à le remercier d’avoir guidé Thélème sur la voie du Lumineux. La prière se déroule traditionnellement dehors et il est de coutume de porter du rouge. Les plus motivés des fidèles font le pèlerinage jusqu’à San- Aurelius exprès pour assister à la messe. L’après-midi, on fait défiler une statue de Saint Matheus lors d’une longue procession. On murmure des prières sur son chemin, on s’incline, et les plus téméraires tentent de toucher la statue pour se porter chance.

Le deuxième jour est consacré à célébrer l’expansion de la foi. Les communautés et personnalités les plus récemment intégrées au giron de Thélème sont à l’honneur. On les félicite, on les bénit, et on invite volontiers des dignitaires ou amis étrangers. On assiste lors du deuxième jour à des démonstrations de magie, censées impressionner les non-convertis et rappeler aux fidèles qu’elle est un don du Lumineux.
Le troisième jour est placé sur la journée la plus longue de l’année. C’est un jour de gratitude, d’humilité et de recueillement. A l’heure où le soleil est le plus haut et où aucune ombre n’est visible, tout Thélème est à genoux au soleil et prie en silence. On assiste ensuite à un banquet - généralement à l’ombre - au cours duquel on mange et boit en remerciant le Lumineux et son Prophète de tous leurs bienfaits.

Jour des âmes


De nos jours, cette fête est plus communément appelée “Jour des larmes”.
A l’origine, le Jour des âmes est une fête en l’honneur des disparus partis rejoindre le Lumineux. On commémore leur souvenir et on prie pour eux. Mais cette petite fête intime a pris graduellement de l’importance au cours des dernières années à cause de l’intensification de l’épidémie de malichor et de la guerre contre l’Alliance du Pont. Désormais, on prie pour les morts sur le champ de bataille, pour les morts de maladie, et on honore les combattants et les guérisseurs. On souhaite à ses ennemis que tout le courroux du Lumineux s’abatte sur eux et on prie pour la fin de la malichor. Cet esprit de vengeance et d’amertume n’est pas apprécié par les plus traditionnalistes, mais force est de constater qu’il prend de l’ampleur.


Les Natifs


Les solstices


Que ce soit celui d’hiver ou celui d’été, le déroulement de cette importante fête est toujours le même : les rois et reines des différents clans se réunissent en conseil et règlent litiges et tensions. Tous les Natifs ayant à se plaindre de leur Mál le font à ce moment. Le conseil des rois est également le lieu et le moment où le Haut-Roi - ou la Haute-Reine - est élu lorsque le dernier est revenu à En On Míl Frichtimen.
Tout le temps que le conseil est réuni, ce qui peut durer plusieurs jours, les clans prennent soin du village. Ils nettoient et purifient la maison du Mál, repeignent les décorations, arrangent les chemins et préparent un repas à partager avec tout le monde pour le retour du roi ou de la reine. Les enfants laissent souvent des farces dans la maison du Mál à cette occasion.

Les équinoxes


Les équinoxes de printemps et d’automne donnent lieu à des célébrations qui, si elles ont lieu dans tous les villages, peuvent varier d’un clan à l’autre.
Certains clans organisent ainsi une chasse ou une récolte, tandis que d’autres se contentent d’un grand repas ou de chants collectifs. Les doneigada mènent ensuite une cérémonie au cours de laquelle on honore tout ce qui compose Tír Fradí et où on se prépare à la saison froide ou chaude qui s’annonce.
A Vighulgsob, on profite de l’équinoxe pour honorer les ulgs et accueillir officiellement dans le village, au printemps, les petits récemment nés.
A Wenshaveye, on dépose au printemps dans les rivières des fleurs portant symboliquement ses voeux pour la belle saison ; à l’automne, on y lance un caillou pour se débarrasser de ce qui nous pèse.
A Vigsoneigad, les équinoxes sont le moment de faire le point sur les réserves de nourriture et d’organiser une sorte de spectacle reproduisant une fausse chasse dans le village. Les enfants demandent toujours à y participer pour poursuivre les adultes déguisés ou pour être pourchassés et devoir se cacher.
A Vígnámrí, on nettoie les grands os de baleine qui parsèment le village et on les décore. On envoie également des commerçants chargés de produits d’artisanat aux autres clans avec des cadeaux.

Le Jour de Lave


Cette fête a de nombreux noms. Elle est aussi appelée “Jour du Départ”, “Souvenir du Gardien”, ou encore “Fête du Volcan”. Quelle que soit son appellation, elle commémore le jour où le peuple d’au-delà des mers a été repoussé par l’éruption volcanique et l’apparition des premiers Nádaig.
Cette célébration est à caractère solennel. Le peuple d’au-delà des mers a amené de nombreux malheurs dans son sillage et la colère d’En On Míl Frichitmen n’est pas un sujet de plaisanteries. Les doneigada et les gardiens des promesses rappellent à tout le clan les circonstances désespérées dans lesquelles les Natifs se sont tournés vers le volcan au coeur de l’île. Après ce rappel historique, qui est souvent fait lors d’une veillée au feu, plusieurs doneigada de chaque clan partent porter des offrandes au volcan pour que sa fureur ne revienne pas dévaster Tír Fradí. Pendant qu’ils remplissent cette tâche, certains clans s’entraînent au combat en l’honneur des anciens guerriers ; d’autres préfèrent simplement porter des offrandes aux Nádaig proches.

La Grande Chasse


La Grande Chasse est une importante cérémonie sacrée qui vise à honorer la terre pour s’assurer qu’elle nourrisse le peuple en retour. Le meilleur des chasseurs parmi les villageois se déguise en andrig blanc et doit échapper aux autres chasseurs toute une nuit. S’il réussit, le présage est bon : la chasse sera fructueuse. Des carillons sont installés le long du parcours afin de tenir les (vraies) bêtes à distance.
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Chapitre I.5 : Le calme avant la Tempête

Le Chapitre 1.5 fait suite au Chapitre 1 : Le bûcher des ambitions.
Les missions et les évents ont fait progresser l'intrigue pour chaque faction. Les tendances se précisent, et il faut croire que les évènements des derniers mois n'étaient qu'un prélude. Les décisions prises et les caps franchis dans ce chapitre 1.5 pourraient bien être irréversibles.

Les PNJs dont il est régulièrement question sont décrits dans ce sujet.


La Congrégation Marchande


Au sein de la Congrégation Marchande, Thaddeus Altieri a brillé ces derniers mois par son omniprésence dans les sujets de conversation. Il s’est attiré le soutien du peuple de façon massive, et sa popularité surpasse largement celle de Maeva d’Ortian. Cependant, cette dernière détient les clefs du pouvoir et n’a pas dit son dernier mot. Son cercle est peut-être restreint mais il est composé des figures les plus influentes de l’île qui lui apportent un soutien concret. Thaddeus, de son côté, a surtout braqué sur lui des yeux attentifs et plein d’espoirs. On espère qu’il sera la solution à la crise alimentaire que traverse Nouvelle-Sérène. La disette menaçait, voilà qu’elle est véritablement installée.

Les tempêtes d’hiver et de printemps obligent les navires à réduire la voilure, voilà que les ravitaillements ont du retard et qu’on se serre la ceinture. Le commerce est morose avec Hikmet car la ville garde ses ressources pour ses propres besoins et les relations que Maeva d’Ortian a réussi à établir avec Odran ne sont pas suffisantes pour garantir un approvisionnement, en tout cas pas pour le moment. Si la noble appelle à la patience et à la raison, Thaddeus a déjeuner deux fois durant le mois dernier avec la Gouverneuse de Nouvelle-Sérène, Madame de Morange, et il en a résulté les premières pierres de son grand projet : étend Nouvelle-Sérène vers le Nord, se désenclaver puisque la ville est coincée entre fleuve et mer, et profiter des bois abondants qui sont, techniquement, des terres natives bien qu’aucun village ne les revendique directement. Ces belles idées ne sont qu’à l’état d’esquisse puisque pour le moment, les terres autour de Nouvelle-Sérène voient pousser de nouvelles habitations comme des champignons, mais il s’agit d’humbles cabanes, au mieux, et après qu’un homme ait mal creusé un puits une brève panique a saisi la ville quand il a été mis à jour que l’eau était souillée, et ce de la pire des façons. Une épidémie s’est déclenchée à la fin du printemps dans une ville surpeuplée, une colique qui n’a pas emporté grand monde mais a tout de même rendu les échanges avec San-Matheus encore plus rares, faute de marchands assez motivés pour venir en ville.

Dans la populace circule la rumeur que Maeva aurait de façon délibérée fait empoisonner ce puits, sans qu’il y ait la moindre preuve d’une telle chose. Thaddeus publiquement affirmé que Maeva entravait la marche de ses plans – et du salut de la ville. Il a demandé à ce que ces chamailleries politiques cessent, ce à quoi Maeva a fait répondre dans un pamphlet qu’il était le premier à avoir jeté le gant et que s’il mettait la moitié de l’énergie qu’il emploie à la diffamer pour l’aider à établir des relations cordiales avec leurs voisins, le commerce suffirait amplement à soulager Nouvelle-Sérène.


L'Alliance du Pont


Hikmet, la plus grande colonie de Teer Fradee, est silencieuse et austère. Rien n’arrive à départager Javed et Darya malgré leurs disputes et les protestations des savants qui ont même conduit à une grève dans le laboratoire d’Hikmet qui n’a pas duré bien longtemps avant qu’ils ne doivent se remettre au travail, ni payés, ni entendus. Darya tient bon, les yeux rivés sur son objectif. L’attaque sur Hikmet par des guerrier de Vighulgsob n’a fait que renforcer sa détermination et lui a valu un soutien passif de la part de la population d’Hikmet. Les tensions s’avivent également dans les bois proches de la ville où plusieurs sources ont pu être sécurisées pour approvisionner la ville en eau, non sans créer des accrochages avec les populations natives. Si Darya ne prévoit aucune attaque, elle semble décidée à entourer Hikmet d’une armure aussi solide que nécessaire. Elle a décidé de faire construire un avant-poste bien avant la ville pour contrôler les entrées et les sorties, et surveiller les activités natives dans la zone. C’est placer de façon officielle tout le territoire derrière ces murs sous l’autorité d’Hikmet dès que l’édifice sera érigé.

Le commerce maritime n’est pas au beau fixe à cause de tempêtes d’hiver et de printemps, et celui terrestre est extrêmement limité puisqu’il faut une autorisation pour être escorté par des membres de la Garde. Autrement, les marchands doivent prendre la route seuls ou payer leur propre sécurité. Face à la loi presque martiale de Darya, la population d’Hikmet a beau être disciplinée on craint que bientôt des rationnements ne soient mis en place. C’est du moins une rumeur qu’aime propager Javed qui, oisif, est de tous les rendez-vous avec des savants de renom. Il participe aux colloques, est invité à prendre le thé en petit comité – l’équivalent d’une soirée mondaine – et se présente parfois chez des marchands pour leur proposer son aide. Il veut être une main secourable, une oreille attentive. Il promet qu’il parlera à Darya, mais Darya refuse encore et toujours de le recevoir. Le dialogue est absolument rompu, et l’isolement devient presque claustrophobique. Partir pour Nouvelle-Sérène n’est même pas une bonne idée puisque la ville connaît déjà une crise démographique, ce qui n’a pas empêché une poignée de familles de tenter l’aventure. Certains savants ont décidé de faire de même et ont quitté Hikmet, mais le soutien réel que peut leur apporter Javed est encore mince tant que lui n’a pas d’influence. Il griffe tout ce qu’il peut mais n’arrive pas à enfoncer ses ongles dans quoi que ce soit pour pouvoir progresser. Pas pour le moment.


Thélème


San-Matheus bruisse de rumeurs quant à cette Confrérie de l’Aube qui, alors qu’on s’attendait à ce qu’elle disparaisse des conversations au bout d’un mois, a acquis assez de soutiens pour rester sur l’île. Judith a acquis un groupe restreint mais solide de fidèles. Un symbole de leur ralliement à la Confrérie est la possession de statuettes représentant Sainte Leire et parfois d’autres Saints dans un style devenu reconnaissable. En effet, le sculpteur leur a donné des visages parfois ridés, des corps imparfaits, des expressions qu’on retrouve rarement dans l’art d’Eglise. Il les a humanisé, et l’art est un puissant outil de ralliement pour une population souvent analphabète.

Cependant, l’avance de Judith reste si mince qu’elle ne lui donne pas vraiment d’influence politique, seulement le droit d’exister sans être victime d’aucune persécution. Ariel, de son côté, ne se préoccupe pour le moment pas tellement de la Confrérie. Certes, il les surveille mais au lieu de contrer leurs efforts, il préfère se focaliser sur les siens. Son grand projet est d’arriver à s’adresser en personne au Màl de Vigsoneigad, Ler. En effet, Ariel a obtenu l’adhésion de deux autres Natifs du village après les évènements de la Fête de l’Equinoxe et s’est débrouillé pour leur faire transmettre son soutien et ses condoléances à la famille de Merryn, devenant une présence constante, quoi que distante, dans la vie du village. Les figures importantes de San-Matheus ont les yeux tournées vers Vigsoneigad puisqu’Ariel choisit avec soin ses émissaires et que tous n’ont pas la chance de faire partie de ses projets. Le peuple, lui, souffre d’une stagnation du commerce. Les ressources sont dévouées à plaire à ces Natifs, à financer expéditions et pamphlets. Ariel se croit bien assuré pour désirer ainsi quitter la ville. Il pourrait revenir triomphant… Ou pour trouver son trône vide. La Confrérie est patiente, et les statuettes continuent de circuler.


Les Natifs


Jamais les Natifs n’ont été plus divisés. Que des querelles éclatent entre des villages, voilà qui était monnaie courante mais à présent les disputes ont lieu au sein d’un même clan. Certains se mettent à écouter davantage la parole de Treasa ou d’Odran que de leurs propres Màl, un phénomène nouveau et qui inquiète certains Natifs. Les idées les plus folles courent comme un feu de brousse, on accuse l’un et l’autre camp de choses parfois tirées par les cheveux. On dit que Treasa veut devenir Màl de son propre village, on dit qu’Odran est un embrume-esprit déguisé ; après tout, il parle rarement en public il préfère s’adresser à de petits comités. Treasa, de son côté, apprécie les grands discours, les cérémonies pleines de panaches. Elle fait du bruit, Odran avance en silence, et pourtant il est bien là, incontournable, et force est de constater que leurs influences sont quasiment similaires parmi les clans de l’île. Vignamri et Viglulgsob sont devenus des bastions pour l’un et l’autre et des disputes ont éclatés entre membres des deux villages simplement à cause de l’appartenance à leurs clans respectifs, sans preuve qu’ils soutenaient la cause d’Odran ou de Treasa. Les tensions sont telles que Vighulgsob est plus refermé sur lui que jamais, surtout après une attaque avortée contre Hikmet qui a fait des blessés parmi la poignée de guerriers présents ce jour là. Vignmari souhaite étendre le commerce à Nouvelle-Sérène. Wenshaveye reste neutre, encore et toujours, et Odran s’évertue à courtiser son Màl. Treasa, très isolationniste, se déciderait apparemment à bientôt lui envoyer des cadeaux. Elle commence également à devoir jouer le jeu des faveurs, après tout son appel à la tradition, frappant au début, trouve ses limites : certains Natifs se retirent des deux camps pour chercher avant tout la parole de leurs Màl et de leurs familles.

Treasa n’a pas beaucoup de ressources à perdre car l’aménagement de son fameux village caché est en bonne voie, selon elle. Odran a, quant à lui, l’avantage de n’avoir personne à nourrir ou à équiper, il a amené une nouvelle variable dans la vie native : l’influence, le pouvoir pour le pouvoir. Il donne ses denrées physiques pour en obtenir, quelque chose qui ne se touche pas, ne se mange pas, et il semble en être satisfaits. Les villageois de Vignamri le sont également : leur village est de nouveau sur le devant de la scène, enfin.
Quant à Vigsoneigad… Le village est comme oublié, excentré de la zone
d’influence des trois autres, il ne semble intéresser ni Odran ni Treasa. La fureur de cette dernière est sans fin dirigée vers Hikmet. Pourtant, les marais sont pleins d’étrangers, et Vigsoneigad pourrait s’avérer être un angle mort dans les plans des deux belligérants.

La Grande Chasse est proche et on espère qu’à cette occasion au moins, aucune histoire politique ne viendra troubler une tradition sacrée.
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